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A l'ouest c'est la quiétude absolue...

série

2018-2019

Le soleil se lève et tout devient nuit...

série

2018

Sans titre

série

2018-2017

L’espace blanc, « vide » dans la peinture de cette artiste, n’est pas quelque chose de vague ou d’inexistant mais un élément dynamique et agissant.

Il est le lieu de non-dits et donc de tous les possibles. Ce « rien » relie l’espace peint à un monde invisible, il vise la plénitude. C’est peut-être un état vers lequel tend cette peinture.   

L’artiste dit avancer sur son chemin, sereinement, partant de rien et vers nulle part, avec comme seule quête, nécessité, cette route, et l’acte de créer.

Cette série  "Sans titre "  illustre en ce sens  cette dé-marche, 

« rien » à nommer, que la peinture elle-même.

Re(s)source

série

2017

Elisabeth Wadecki cherche à donner une certaine qualité d’espace semblable aux paysages qu’elle retient. Tout comme Olivier Debré,elle extrait

de la réalité vécue l’essence et le principe, l’essentiel de l'émotion.

Et dans le champ de la toile, tout à la fois, le geste de l’artiste signe

une singulière expressivité qui oscille entre gribouillis, et calligraphie.

Ce geste entraîne notre corps et nos sens dans une suite d’émotions à même de nous faire évader de la réalité. Un instant, la toile ainsi arpentée, évoque

la légèreté expansive de Cy Towmbly. Un art du « frémissement ».

Mosaïque

série

2016/2017

Dans cette série de dix-huit pièces formant au sol une mosaïque colorée

et graphique, le regard saisit une pluralité de paysages dont l’œil

du peintre n’aurait capté que l’essence même, tel un calligraphe qui,

dans la vitalité et l’immédiateté de son geste, jette ça et là un jaune moisson, un vert lentilles d’eau, un rose ou un terre-de-sienne d’argile,

et prend son envol dans l’espace subtil d’un blanc mat.

Elisabeth Wadecki prévoit plusieurs propositions pour cette installation,

sur le sol nu, ou recouvert de paille. Au mur, deux textes écrits par l'artiste

se déploient du plafond au sol,  et évoquent ses lieux/terres nourriciers.

Paludes d’automne

Gesvres

séries

2016

 

La texture picturale des toiles constituée de surfaces plus ou moins transparentes, onctueuses, humides, donne à voir un paysage quelque peu

en lévitation. La composition semble se déployer en miroir, rappelle la spécificité des paysages chinois. Cette peinture est certainement empreinte de quelque influence asiatique, et relève d’un mélange intuitif de références contemporaines tant picturales que littéraires. Et l’on sent ici dans cette peinture, sourdre les mots ; on sent frémir la retenue délicate et l’envol éternel de la poésie japonaise. Car l’artiste, sensible à l’extrême à la vie, à ses formes les plus simples et quotidiennes, fréquente l’art des haïkus, qu’elle couche en toute liberté dans ses petits carnets.

Autoportraits polonais

série

et esquisses préliminaires à la vidéo Re(s)source, autoportraits

2016

Mains, portraits

série

2016

Elles 

triptyque

Mains 

série

2015

Cinq femmes

série 

et esquisses préliminaires

2015

Les larmes des anges

et esquisses préliminaires

2014

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